Parlons des urgences

Les urgences sont la vitrine d’un hôpital, d’un cabinet médical ou d’un dispensaire.  Evidement pour tout malade qui se présente devant le médecin, son cas est relativement urgent. Il veut passer en premier et il trouve la file d’attente trop longue. Cela se voit à tours les consultations médicales.

En cas de catastrophe naturelle ou d’accidents on distingue les urgences relatives, les urgences absolues et les extrêmes urgences.

Certains praticiens ont tendance à exagérer en présentant comme urgents des actes médicaux ou infirmiers qui ne le sont pas. Toutes les appendicectomies faites en urgence gagneraient à être mieux préparées tant qu’on n’est pas en présence d’une péritonite.

L’urgence médicale est définie comme une situation du vécu humain qui nécessite une intervention médicale immédiate ou rapide sans laquelle le pronostic vital ou fonctionnel pourrait être engagé.

On distingue différents types d’urgences : urgences médicales, urgences pédiatriques, urgences gyneco obstétricales et les urgences psychiatriques.

Le niveau critique est sans doute fait de crise cardiaque, de traumatismes importants, de traumatisme crâniens graves, de difficultés respiratoires graves, d’hémorragies importantes et de perte de connaissance.

Il y’a également urgence devant une fièvre importante chez un bébé, une coupure profonde, un traumatisme crânien sans perte de connaissance ou un corps étranger dans l’œil ou dans l’oreille. Les fractures, les entorses, le mal de dos, les infections de la peau ou les plaies infectées sont beaucoup moins des urgences tandis que le rhume, une coupure superficielle un mal de gorge ou un problème de sinus ne constituent pas des urgences.

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